Faits clés
- Le Département de l'Éducation a supprimé l'exigence de difficultés financières partielles pour les plans IBR le 22 décembre.
- Les emprunteurs à revenu plus élevé peuvent désormais s'inscrire à l'IBR sans prouver que les paiements sont inférieurs au montant standard sur 10 ans.
- L'IBR offre un pardon après 20 ans pour les prêts postérieurs au 1er juillet 2014 ou 25 ans pour les précédents.
- Le pardon des prêts étudiants a repris à l'automne après la résolution des arriérés de demandes.
- De nouveaux plafonds d'emprunt et un Plan d'assistance au remboursement sont prévus pour juillet 2026.
Résumé rapide
Le Département de l'Éducation sous la présidence de Donald Trump a achevé une mise à jour significative des plans de remboursement basé sur le revenu (IBR) pour les prêts étudiants. Annoncée le 22 décembre, cette révision supprime l'exigence de difficultés financières partielles, permettant aux emprunteurs à revenu plus élevé de se qualifier pour des paiements mensuels plus bas et un pardon éventuel de la dette.
Cette refonte fait partie de réformes plus larges sur les prêts étudiants signées en loi par Trump. Précédemment, l'éligibilité exigeait que le paiement standard sur 10 ans de l'emprunteur dépasse son montant basé sur le revenu. Désormais, plus d'individus peuvent accéder à l'IBR, qui calcule les paiements en pourcentage du revenu — 15 % pour les prêts avant le 1er juillet 2014 sur 25 ans, ou 10 % pour les prêts ultérieurs sur 20 ans.
Le département exhorte les candidats précédemment refusés à se réinscrire en ligne. Les demandes déjà soumises seront traitées dans l'ordre de réception. De plus, après la résolution d'un arriéré, le pardon des prêts étudiants a repris à l'automne pour les emprunteurs qualifiés. Les mises en œuvre futures incluent des plafonds d'emprunt et un nouveau Plan d'assistance au remboursement prévu pour juillet 2026.
L'achèvement des mises à jour des plans IBR
Le Département de l'Éducation a finalisé sa révision des plans de remboursement basé sur le revenu. Cette mise à jour élimine le critère de difficultés financières partielles qui restreignait auparavant l'inscription.
Sous les règles antérieures, les emprunteurs devaient démontrer que leur paiement basé sur le revenu était inférieur au montant requis pour un plan de remboursement standard sur 10 ans. La suppression de cette barrière élargit l'accès à des options abordables pour un groupe plus large de titulaires de prêts étudiants.
Ce changement s'aligne sur les dispositions législatives de la loi de dépenses du président Donald Trump, décrite comme sa législation « grande et belle ». L'annonce du département le 22 décembre marque l'achèvement de cet aspect clé de la refonte du remboursement des prêts étudiants.
Éligibilité élargie pour les emprunteurs à revenu plus élevé
Qui peut désormais s'inscrire ?
Les emprunteurs à revenu plus élevé, précédemment non éligibles en raison de la règle de difficultés financières, peuvent bientôt rejoindre les plans IBR. Le département encourage ceux qui ont été refusés par le passé à soumettre de nouvelles demandes via le portail en ligne de remboursement basé sur le revenu.
Pour les demandes déjà en cours de traitement, les gestionnaires les traiteront de manière séquentielle en fonction de la date de réception. Cela garantit un traitement équitable pendant la transition.
Impact sur les emprunteurs
L'élargissement signifie que plus d'individus se qualifient pour des paiements adaptés à leurs revenus, réduisant la pression financière. Cela bénéficie particulièrement aux professionnels dont les salaires les auraient disqualifiés auparavant, offrant un chemin vers une dette gérable sans le seuil de difficultés.
- Les personnes à revenu plus élevé obtiennent accès à des paiements basés sur un pourcentage du revenu.
- Les réinscriptions sont simples via l'outil en ligne du département.
- Les soumissions en attente conservent leur ordre de traitement original.
Fonctionnement des plans de remboursement basé sur le revenu
Les plans IBR ajustent les paiements mensuels des prêts étudiants en fonction du niveau de revenu de l'emprunteur. Après la période spécifiée, tout solde restant est éligible au pardon.
Pour les prêts contractés avant le 1er juillet 2014, les paiements équivalent à 15 % du revenu discrétionnaire sur une durée de 25 ans. Les prêts pris après cette date requièrent 10 % du revenu sur 20 ans.
Des arriérés de traitement récents ont retardé les demandes, mais le Département de l'Éducation a repris le pardon à l'automne pour ceux qui respectent les seuils de paiement. Ce redémarrage apporte un soulagement aux participants de longue date qui ont rempli leurs obligations.
- Les paiements basés sur le revenu évitent des charges insoutenables.
- Le pardon intervient après 20 ou 25 ans de paiements qualifiés.
- Le calcul du revenu discrétionnaire tient compte de la taille de la famille et des directives fédérales sur la pauvreté.
Changements à venir dans le remboursement des prêts étudiants
Éléments de la refonte plus large
Au-delà de la mise à jour de l'IBR, le département prépare des réformes supplémentaires. Celles-ci incluent de nouvelles limites d'emprunt pour les étudiants diplômés et professionnels afin de freiner l'accumulation excessive de dettes.
Un nouveau Plan d'assistance au remboursement vise à consolider et remplacer les options actuelles basées sur le revenu. Ce plan simplifiera le paysage du remboursement pour des millions d'emprunteurs.
Calendrier de mise en œuvre
Tous ces changements, y compris les plafonds d'emprunt et le nouveau plan, sont programmés pour un déploiement en juillet 2026. Les emprunteurs devraient suivre les mises à jour alors que le département met en phase ces modifications.
En conclusion, la suppression de l'exigence de difficultés financières représente une étape pivot pour rendre l'aide aux prêts étudiants plus accessible. Les emprunteurs à revenu plus élevé ont désormais des voies plus claires vers des paiements abordables et le pardon, tandis que les réformes futures promettent une simplification supplémentaire du système. Cette évolution sous l'administration du président Donald Trump pourrait atténuer les pressions de la dette pour une population plus large, favorisant la stabilité économique.
« Si vous avez postulé pour l'IBR et que votre gestionnaire retient votre demande, votre gestionnaire traitera votre demande dans l'ordre de réception. »
— Département de l'Éducation
« grand et beau »
— Président Donald Trump, décrivant la législation de dépenses
