Points Clés
- Romi Gonen a 25 ans.
- Elle a été enlevée lors de la rave Nova.
- Elle a été détenue à Gaza pendant 471 jours.
- Elle a été agressée par un tireur du Hamas pendant 30 minutes.
- On lui a menacé de mort si elle parlait à quelqu'un.
Résumé Rapide
Romi Gonen, une survivante de 25 ans, a fourni un récit poignant des violences sexuelles qu'elle a endurées alors qu'elle était détenue captive à Gaza pendant 471 jours. Enlevée au festival de musique Nova, Gonen a détaillé les agressions répétées de ses ravisseurs, décrivant spécifiquement un incident où un tireur du Hamas l'a agressée pendant 30 minutes.
Selon son témoignage, le tireur semblait « extatique » pendant l'agression alors que Gonen pleurait et se sentait « paralysée ». Son récit souligne les conditions brutales auxquelles les otages ont été confrontés. La survivante a également noté que ses ravisseurs ont proféré des menaces de mort pour la faire taire.
L'Enlèvement et la Captivité
Romi Gonen a été enlevée lors de la rave Nova et détenue à Gaza pendant un total de 471 jours. Sa captivité a impliqué de mauvais traitements sévères de la part de ses ravisseurs. L'épreuve a commencé lors de l'attaque du festival de musique, conduitant à son transfert dans la bande de Gaza.
Pendant son temps en captivité, Gonen a fait face à des menaces et des violences incessantes. La durée de sa détention met en lumière le traumatisme prolongé vécu par les otages. Son expérience reflète la crise plus large impliquant les individus pris lors des attaques du 7 octobre.
Témoignages de Violences Sexuelles
Gonen a raconté des cas spécifiques d'abus sexuels perpétrés par des tireurs du Hamas. Elle a décrit une période de trente minutes au cours de laquelle elle a été agressée par un ravisseur. L'agresseur aurait affiché une attitude d'excitation pendant l'abus.
Pendant que l'agression avait lieu, Gonen a déclaré qu'elle a pleuré pendant tout le temps et s'est sentie physiquement paralysée. L'impact psychologique de ces événements a été aggravé par les menaces explicites faites par les auteurs. Elle se souvient que le ravisseur l'a avertie : « Si tu dis à quelqu'un, je te tuerai. »
Menaces et Impact Psychologique
La menace de mort était un outil constant utilisé par les ravisseurs pour assurer le silence. On a explicitement dit à Gonen qu'elle serait tuée si elle révélait les agressions sexuelles à qui que ce soit. Cette tactique d'intimidation a servi à l'isoler et à aggraver le traumatisme de l'abus physique.
La combinaison de la violence physique et de la terreur psychologique a défini son expérience à Gaza. Le témoignage de Gonen révèle la nature calculée de l'abus infligé aux otages. Sa survie à travers 471 jours de telles conditions démontre la gravité de la crise.
Conclusion
Le témoignage de Romi Gonen fournit une perspective critique sur les atrocités commises contre les otages. Son récit détaillé des violences sexuelles et des menaces souligne le besoin urgent d'attention internationale concernant la crise humanitaire. La voix de la survivante s'ajoute au dossier croissant des crimes commis par le Hamas durant le conflit.
Alors que le monde prend connaissance de ces événements, le courage de Gonen à partager son histoire sert de témoignage à la résilience des survivants. Son expérience souligne le coût humain dévastateur de la violence continue dans la région.
« Si tu dis à quelqu'un, je te tuerai »
— Ravisseur du Hamas
Key Facts: 1. Romi Gonen a 25 ans. 2. Elle a été enlevée lors de la rave Nova. 3. Elle a été détenue à Gaza pendant 471 jours. 4. Elle a été agressée par un tireur du Hamas pendant 30 minutes. 5. On lui a menacé de mort si elle parlait à quelqu'un. FAQ: Q1: Qui est Romi Gonen ? A1: Romi Gonen est une femme de 25 ans qui a été enlevée au festival de musique Nova et détenue en otage à Gaza pendant 471 jours. Q2: Qu'est-ce que Romi Gonen a raconté sur sa captivité ? A2: Elle a raconté les agressions sexuelles répétées par des tireurs du Hamas, y compris un incident spécifique où un ravisseur l'a agressée pendant 30 minutes en menaçant de la tuer si elle parlait.« J'étais paralysée »
— Romi Gonen
