Points Clés
- Les utilisateurs de WhatsApp et Telegram ont déposé une plainte contre Roskomnadzor et le ministère du Développement numérique.
- Le procès concerne le blocage des appels vocaux sur les messageries.
- Les plaignants estiment que les agences violent leurs droits constitutionnels.
Résumé Rapide
Les utilisateurs de WhatsApp et Telegram ont déposé une plainte contre Roskomnadzor et le ministère du Développement numérique. L'action judiciaire porte sur le blocage récent des fonctionnalités d'appels vocaux au sein de ces applications de messagerie.
Les plaignants affirment que ces mesures réglementaires violent leurs droits constitutionnels. Cette plainte constitue une remise en cause directe de l'autorité des agences gouvernementales à restreindre les fonctionnalités de communication sur les plateformes numériques populaires utilisées par des millions de citoyens.
Action Judiciaire Lancée
Un groupe d'utilisateurs a officiellement saisi la justice concernant les restrictions imposées à WhatsApp et Telegram. La plainte vise deux grandes entités gouvernementales : Roskomnadzor et le ministère du Développement numérique. Les plaignants soutiennent que la décision des agences de bloquer les appels vocaux porte atteinte à leurs droits fondamentaux.
Le dépôt judiciaire aborde spécifiquement les mesures techniques qui empêchent les utilisateurs de passer des appels via ces applications. En bloquant ces fonctionnalités, les organes de régulation sont accusés de dépasser leurs compétences et de limiter les méthodes de communication essentielles.
Revendications Constitutionnelles
L'argument principal présenté dans la plainte est la violation des droits constitutionnels. Les utilisateurs estiment que l'ingérence du gouvernement dans leur capacité à communiquer librement via WhatsApp et Telegram est illégale. Les plaignants cherchent un recours judiciaire pour restaurer la pleine fonctionnalité des applications de messagerie.
Cette remise en cause judiciaire souligne le conflit croissant entre la régulation de l'État et la liberté numérique. L'issue de cette affaire pourrait établir un précédent significatif pour la manière dont les outils de communication seront régulés à l'avenir.
Réponse Réglementaire
La plainte place Roskomnadzor et le ministère du Développement numérique sur la défensive concernant leurs politiques récentes. Les agences n'ont pas encore publié de déclaration publique détaillée concernant les allégations spécifiques formulées dans la plainte. Cependant, la pression judiciaire force une confrontation directe sur la justification du blocage des appels vocaux.
Les organes de régulation font face à un examen minutieux sur l'étendue de leurs pouvoirs. Les plaignants soutiennent que le blocage des appels n'est pas une mesure réglementaire justifiée mais une atteinte à la vie quotidienne et aux communications professionnelles.



