Points Clés
- Pedro Sánchez a demandé aux ministres de lister trois ou quatre mesures sociales chacun.
- Les mesures doivent être approuvables en 2026 sans passer par le Congrès.
- La stratégie vise à contourner la volatilité du bloc de l'investiture.
- Podemos serait rapporté être "a la contra" (contre) et Junts affirme que le pacte est rompu.
- L'objectif est de reprendre l'initiative politique pour le cycle électoral de 2026.
Résumé Rapide
Le président Pedro Sánchez a demandé aux ministres du gouvernement de coalition de rédiger des propositions de mesures sociales qui peuvent être mises en œuvre sans l'approbation du Congrès. L'objectif est de renforcer la position de l'exécutif en 2026 malgré la fragilité parlementaire actuelle.
La directive demande spécifiquement trois à quatre mesures par ministre qui ne nécessitent pas d'action législative. Cette stratégie est destinée à contourner la volatilité du bloc politique actuel, permettant au gouvernement de maintenir l'élan. L'accent est mis sur les politiques disruptives clairement liées au gouvernement, indépendantes des Cortes.
Directive Présidentielle aux Ministres
Le président Pedro Sánchez a émis une instruction spécifique aux ministres de la coalition PSOE et Sumar. Il a demandé à chaque ministre de présenter une liste de trois ou quatre mesures sociales. Ces mesures doivent être capables d'être approuvées en 2026 sans nécessiter le passage par le Congrès des Députés.
Cette approche est conçue pour contourner la faiblesse parlementaire actuelle du gouvernement. L'exécutif vise à opérer indépendamment de la volatilité au sein du bloc de l'investiture. En évitant les obstacles législatifs, le gouvernement cherche à mettre en œuvre les politiques directement.
Naviguer dans la Faiblesse Parlementaire
Le gouvernement navigue actuellement dans un paysage politique complexe. Le bloc de l'investiture est décrit comme fragmenté, créant une instabilité. Plus précisément, Podemos s'opposerait rapporté aux initiatives gouvernementales depuis un certain temps.
De plus, Junts insiste sur le fait que l'accord qui a assuré la présidence de Sánchez a été rompu à l'automne. Malgré ces tensions et la fragilité parlementaire qui en résulte, le gouvernement reste au pouvoir. La nouvelle stratégie vise à gouverner efficacement malgré ce resquemor (ressentiment/amertume) sans déclencher une chute du gouvernement.
Stratégie pour le Cycle Électoral de 2026
Le président a chargé le cabinet de proposer des initiatives disruptives et clairement identifiables. L'objectif est de reprendre l'initiative politique à l'approche du cycle électoral de 2026. En mettant en œuvre des mesures qui ne dépendent pas des Cortes, le gouvernement espère démontrer l'efficacité et la visibilité.
Cette stratégie permet à l'exécutif de contourner le goulot d'étranglement législatif. Elle garantit que les actions du gouvernement sont distinctes et reconnaissables pour l'électorat. L'accent est mis sur l'action exécutive plutôt que sur la négociation législative.
Conclusion
La demande du président Sánchez pour des mesures sociales non législatives représente un changement tactique dans la gouvernance. Elle reconnaît la réalité d'une position parlementaire affaiblie tout en cherchant une voie vers la mise en œuvre continue des politiques. En donnant aux ministres le pouvoir de trouver des moyens d'agir sans le Congrès, l'administration tente de maintenir sa pertinence et son élan.
Cette approche met en lumière la tension entre le désir de l'exécutif de gouverner et les contraintes législatives imposées par une majorité fracturée. Le succès de ces mesures dépendra de la créativité des ministres et des voies légales disponibles pour la mise en œuvre en dehors des processus législatifs standard.
