Points Clés
- Le film de Josh Safdie, Marty Supreme, est actuellement en salles
- La bande-son inclut "Everybody Wants to Rule the World" de Tears for Fears et "I Have the Touch" de Peter Gabriel
- Timothée Chalamet incarne un jeune homme du Lower East Side de New York
- Le film a failli s'arrêter dans les années 80, mais la bande-son est restée
Résumé Rapide
Josh Safdie a sorti son dernier film, Marty Supreme, qui est actuellement en salles. Le long métrage présente une bande-son dominée par la musique des années 1980, incluant des tubes de Tears for Fears et de Peter Gabriel.
Avec Timothée Chalamet en vedette, le film suit un jeune homme du Lower East Side de New York qui rêve de conquérir la ville. La bande-son joue un rôle central dans l'atmosphère du film, utilisant des classiques pour enrichir la narration.
Synopsis et Distribution
Marty Supreme marque la plus récente réalisation de Josh Safdie. Le film met en vedette Timothée Chalamet dans le rôle principal, incarnant un personnage aux grandes ambitions.
L'histoire se déroule à New York, en se concentrant spécifiquement sur le Lower East Side. Le protagoniste est décrit comme un jeune homme qui rêve grand et vise à conquérir la ville.
La Bande-Son 🎵
Le film est rempli de musique des années 1980, souvent appelées les « tubes des années 80 ». Josh Safdie a intégré des morceaux spécifiques pour définir le paysage sonore du film.
Deux chansons spécifiques sont mises en avant dans la bande-son :
- Tears for Fears - "Everybody Wants to Rule the World"
- Peter Gabriel - "I Have the Touch"
Malgré les rapports selon lesquels le film a failli cesser sa production dans les années 1980, la bande-son est restée un élément constant du projet.
Détails de Production
Marty Supreme est désormais disponible pour une vision en salles. Le film représente une collaboration entre la réalisation de Josh Safdie et le jeu d'acteur de Timothée Chalamet.
Le décor du Lower East Side de New York sert de toile de fond à l'histoire d'ambition et de succès. L'utilisation des morceaux de Peter Gabriel et Tears for Fears aide à ancrer le film dans une époque spécifique, indépendamment de la chronologie de production.

