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Points Clés

  • En 1981, Nigel Farage avait 17 ans et était élève à Dulwich College dans le sud-est de Londres.
  • L'enseignante d'anglais Chloë Deakin a écrit au proviseur du collège pour s'opposer à la nomination de Farage en tant que préfet.
  • Deakin se souvient que les élèves désignaient spécifiquement Farage comme un tyau lors d'une discussion dans sa classe.
  • Deakin a décrit Farage comme une « figure de controverse » parmi les élèves plus jeunes et le personnel.

Résumé Rapide

En 1981, Chloë Deakin, une jeune enseignante d'anglais à Dulwich College, a pris position contre la nomination de Nigel Farage en tant que préfet scolaire. Deakin se souvient que Farage, qui avait 17 ans cette année-là, était déjà une figure de controverse parmi les élèves plus jeunes et les membres du personnel. Son intervention est intervenue après des discussions avec une classe d'élèves de 11 et 12 ans qui avaient désigné Farage spécifiquement comme un tyau.

Deakin était si préoccupée par ces rapports qu'elle a écrit au proviseur pour s'opposer à la nomination de Farage. Elle se souvient de la conversation avec vivacité, notant que le sujet du harcèlement est apparu pendant un cours d'anglais ou une heure de vie de classe. Ses actions étaient motivées par le désir de protéger les élèves plus jeunes d'un harcèlement potentiel. Ce récit historique brosse un tableau de la réputation précoce de Farage à l'école située dans le sud-est de Londres. Les allégations suggèrent que son image publique controversée s'est établie bien avant sa carrière politique.

Les allégations de 1981 📝

La controverse porte sur les événements survenus à Dulwich College dans le sud-est de Londres à l'automne 1981. Nigel Farage approchait ses 17 ans et était envisagé pour le rôle de préfet, une position de responsabilité au sein de l'école. Cette nomination a incité Chloë Deakin à enquêter sur sa réputation auprès du corps étudiant. Elle a engagé ses élèves plus jeunes dans une conversation qui a révélé des informations troublantes sur le comportement de Farage.

Deakin a décrit le moment où le sujet est apparu dans sa salle de classe. Elle a déclaré : « Je me souviens que c'était soit dans un cours d'anglais particulier, soit dans une heure de vie de classe particulière, que son nom a été mentionné. » La discussion s'est rapidement tournée vers le sujet du harcèlement. Deakin a noté : « Il y avait quelque chose à propos du harcèlement, et il était désigné, assez spécifiquement, comme un tyau. » Ces allégations spécifiques de la part des élèves ont poussé Deakin à agir immédiatement. Elle s'est sentie responsable de s'occuper des inquiétudes soulevées par les élèves plus jeunes.

En apprenant ces rapports, Deakin a décidé d'intervenir directement auprès de l'administration de l'école. Elle s'est rappelé sa réaction aux affirmations des élèves : « Et j'ai pensé : « Qui est ce garçon ? » » Cette enquête l'a conduite à écrire une lettre au proviseur du collège. Son objectif était de s'opposer à la décision de nommer Farage en tant que préfet. Elle croyait qu'un élève accusé de harcèlement par ses pairs plus jeunes ne devrait pas occuper une position d'autorité. Son intervention met en évidence la tension entre la nomination de Farage et la réalité rapportée de ses interactions avec les autres élèves.

L'intervention de l'enseignante 🏫

Chloë Deakin n'a pas simplement observé la situation ; elle a pris des mesures concrètes pour empêcher Nigel Farage d'obtenir une autorité sur les élèves plus jeunes. Son principal outil était une lettre formelle adressée au proviseur de Dulwich College. Dans cette correspondance, elle a exposé les inquiétudes qu'elle avait recueillies auprès de sa classe d'élèves de 11 et 12 ans. La lettre servait de objection formelle au processus de nomination des préfets.

Les actions de Deakin étaient motivées par la nature spécifique des accusations. Les élèves n'ont pas seulement décrit une mauvaise conduite générale ; ils ont identifié Farage comme un « tyau ». Cette étiquette avait un poids considérable dans un environnement scolaire. En écrivant au proviseur, Deakin a tenté d'utiliser sa position d'enseignante pour influencer la décision. Elle espérait que l'administration prendrait en compte la sécurité et le bien-être des élèves avant d'autres considérations pour le rôle de préfet.

La chronologie de ces événements les place fermement en 1981, une année charnière pour Farage alors qu'il se préparait à quitter l'environnement scolaire. Le souvenir de Deakin sert de contre-récit à toute image de Farage comme un élève modèle. Son récit suggère que sa réputation de controverse était bien établie parmi le personnel. L'intervention démontre la vigilance du personnel enseignant concernant le bien-être des élèves. Il met également en évidence l'émergence précoce de comportements qui définiraient plus tard la vie publique de Farage.

La réputation précoce de Farage 🗣️

Selon Chloë Deakin, Nigel Farage était déjà une « figure de controverse » à Dulwich College en 1981. Cette description suggère que sa notoriété n'était pas un secret au sein de la communauté scolaire. Les élèves plus jeunes et le personnel étaient apparemment bien conscients de son comportement. Le témoignage de Deakin indique que cette réputation était une « habitude de toute une vie », impliquant que les traits observés dans sa jeunesse ont persisté jusqu'à sa vie d'adulte.

L'allégation spécifique de harcèlement ajoute une dimension plus sombre à sa réputation précoce. Alors que de nombreux adolescents peuvent être impliqués dans des disputes, être désigné « assez spécifiquement » comme un tyau par des élèves plus jeunes est une accusation grave. Cela suggère un schéma de ciblage de ceux qui sont perçus comme plus faibles ou vulnérables. La surprise de Deakin en entendant son nom — « Qui est ce garçon ? » — indique que la réputation de Farage était peut-être confinée à certains cercles de l'école avant sa rencontre avec les affirmations.

Ces allégations historiques fournissent un contexte pour la persona publique ultérieure de Farage. La transition d'un écolier controversé à une figure politique controversée semble, selon ce récit, être une ligne continue. La volonté de Deakin de parler met en évidence l'impact durable de son comportement sur ceux qui l'ont observé. Le souvenir de sa conduite est resté vif pour Deakin des décennies plus tard. Cela suggère que les événements de 1981 étaient suffisamment importants pour laisser une impression durable sur le personnel enseignant.

Conclusion

Le récit fourni par Chloë Deakin offre un aperçu détaillé du comportement de Nigel Farage pendant son passage à Dulwich College en 1981. Sa décision d'écrire au proviseur du collège était une réponse directe aux allégations de harcèlement portées contre lui par des élèves plus jeunes. La nature spécifique des affirmations et les actions ultérieures de Deakin peignent le portrait d'un élève qui générait déjà la controverse.

Le souvenir de Deakin sert de registre historique de la réputation précoce de Farage. Il met en évidence les inquiétudes qui existaient parmi le personnel de l'école concernant son adéquation pour une position d'autorité. Les allégations de harcèlement suggèrent un schéma de comportement qui précède son entrée dans la sphère publique. Cette perspective d'un ancien enseignant fournit un aperçu unique des années de formation d'une figure politique proéminente. Les événements de 1981 restent un point de discorde, illustrant l'ombre longue projetée par les actions de jeunesse.

« Je me souviens que c'était soit dans un cours d'anglais particulier, soit dans une heure de vie de classe particulière, que son nom a été mentionné. »

— Chloë Deakin, Ancienne enseignante d'anglais

« Il y avait quelque chose à propos du harcèlement, et il était désigné, assez spécifiquement, comme un tyau. »

— Chloë Deakin, Ancienne enseignante d'anglais

Source originale

The Guardian

Publié à l'origine

Cet article a été traité par l'IA pour améliorer la clarté, la traduction et la lisibilité. Nous renvoyons toujours à la source originale.

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