Points Clés
- Le ministre des Affaires étrangères d'Azerbaïdjan, Jeyhun Bayramov, a résumé les progrès du processus de réconciliation avec l'Arménie.
- La conférence de presse annuelle de fin d'année a mis en lumière l'agenda pour 2026.
- Le processus de réconciliation implique la délimitation des frontières et l'ouverture des liaisons de transport.
Résumé Rapide
Lors de la conférence de presse annuelle de fin d'année, Jeyhun Bayramov, ministre des Affaires étrangères d'Azerbaïdjan, a résumé les progrès réalisés dans le processus de réconciliation avec l'Arménie. Il a souligné les réalisations de l'année écoulée et défini l'agenda pour la période à venir, visant spécifiquement 2026 pour des jalons importants.
L'objectif diplomatique reste la normalisation des relations et l'établissement d'un cadre de paix durable. Les priorités clés incluent la démarcation des frontières étatiques et la restauration des liens économiques. Le ministre a réaffirmé l'engagement de l'Azerbaïdjan envers le processus de paix basé sur les principes du droit international.
Aperçu Diplomatique et Progrès
Le ministre des Affaires étrangères Jeyhun Bayramov a utilisé la conférence de presse pour examiner l'état actuel des relations bilatérales. Il a noté que le processus de réconciliation a avancé, bien que des défis subsistent. Les remarques du ministre se sont concentrées sur l'importance stratégique d'atteindre un accord de paix complet.
Le gouvernement azerbaïdjanais considère la normalisation des liens comme essentielle pour le développement régional. Bayramov a déclaré que le pays est prêt à poursuivre le dialogue constructif. L'objectif est de transformer la trêve actuelle en un règlement de paix permanent.
L'Agenda de Paix pour 2026 🗓️
La chronologie pour 2026 représente une phase critique du processus de paix. L'Azerbaïdjan vise à finaliser le traité de paix bilatéral au cours de cette période. Cet objectif nécessite un engagement diplomatique soutenu et la résolution des questions en suspens.
Les composantes clés de l'agenda incluent :
- Finalisation du texte du traité de paix.
- Établissement de relations diplomatiques.
- Ouverture des liaisons de transport et de communication.
Le ministre a souligné que le rythme des progrès dépend de la volonté politique des deux nations. L'Azerbaïdjan a exprimé sa disponibilité à signer le traité sur la base de principes convenus.
Démarcation des Frontières et Souveraineté
Un pilier central du processus de réconciliation est la délimitation et démarcation de la frontière interétatique. Jeyhun Bayramov a souligné que les travaux dans ce sens progressent. Le processus implique l'utilisation de documents juridiques et de matériel cartographique.
L'Azerbaïdjan insiste sur le fait que la démarcation des frontières doit respecter l'intégrité territoriale des deux États. Le ministre a noté que des commissions conjointes travaillent sur les aspects techniques de ce processus. La garantie de la sécurité le long de la frontière est une priorité absolue pour Bakou.
Coopération Régionale et Transport 🚉
Au-delà des questions bilatérales, la réconciliation entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie est liée à une stabilité régionale plus large. L'ouverture des corridors de transport est un objectif économique et politique important. Cela inclut la réalisation de projets d'infrastructure régionaux.
La normalisation de la situation sur le terrain devrait stimuler l'activité économique dans le Caucase du Sud. Bakou préconise le déblocage de toutes les communications régionales. Ces étapes sont considérées comme vitales pour la prospérité de l'ensemble de la région.
Conclusion
Les déclarations de Jeyhun Bayramov indiquent que l'Azerbaïdjan entre dans une phase décisive de ses relations avec l'Arménie. L'objectif est fermement d'obtenir un traité de paix d'ici 2026. Le succès de cette entreprise dépend des efforts diplomatiques continuels et du respect des engagements mutuels.
La voie à suivre implique des négociations complexes, mais l'intention déclarée de Bakou est de sécuriser une paix durable. Les prochains mois seront cruciaux pour déterminer la chronologie de l'agenda de paix.



